12h 01, mardi 22 fĂ©vrier. La voiture de la police municipale quitte le marchĂ© des États-Unis, avec quelques agents Ă  son bord. Deux minutes plus tard, des dizaines de marchands Ă 
ActualitĂ©s Vol d’argent Ă  Samorogouan Le commissaire de police, l’accusĂ© du plaignant ... Fin juillet-dĂ©but aoĂ»t 2010, est survenue entre le commissaire de police de Samorogouan et un jeune commerçant de bĂ©tail de la mĂȘme localitĂ©, une affaire d’argent qui s’est retrouvĂ©e au Tribunal de grande instance de Orodara. Notre enquĂȘte. Le procureur du Faso prĂšs le Tribunal de grande instance de Orodara, Constantin N. SomĂ© a reçu Ă  son service la plainte de OuĂ©draogo Yacouba, jeune commerçant de bĂ©tail rĂ©sidant Ă  Samorogouan. C’est effectif, nous avons reçu la plainte Ă  notre niveau. Le dossier suit son cours et tĂŽt ou tard, il connaĂźtra son dĂ©nouement », nous a confirmĂ© le procureur en prĂ©sence de son substitut, Hikoti Gnoumou le 20 dĂ©cembre 2010. De quel dossier s’agit-il ? A cette question, seul le plaignant nous a donnĂ© sa version des faits. L’accusĂ© que nous avons rencontrĂ© Ă  son bureau le mĂȘme jour, nous a renvoyĂ© Ă  son directeur provincial Ă  Orodara. Comme mon directeur provincial est mis au courant, je ne peux rien dire en dehors de lui. Depuis le dĂ©but de cette affaire courant juillet, je suis tranquille et je fais mon travail sans inquiĂ©tude car c’est un montage pour ternir mon image », nous a-t-il dit. Avant de nous rendre Ă  Orodara, nous avons rencontrĂ© le premier responsable du Tribunal dĂ©partemental de Samorogouan, FoussĂ©ni Soulama, prĂ©fet de la localitĂ©. En tant que premier responsable du Tribunal dĂ©partemental, j’ai Ă©tĂ© mis au courant d’un incident qui a opposĂ© OuĂ©draogo Yacouba au commissaire de police du dĂ©partement. Compte tenu du caractĂšre commercial et financier du problĂšme, j’ai dĂ» informer le plaignant que je n’avais pas mandat de traiter des questions de cette valeur », a confiĂ© le prĂ©fet. A la gendarmerie de Samorogouan, la mĂȘme affaire a Ă©tĂ© portĂ©e Ă  la connaissance du commandant de Brigade, Ali Guira et son Ă©quipe. LĂ  encore, le plaignant n’a pas eu gain de cause compte tenu du rang de son accusĂ©. En effet, l’accusĂ© est officier de police judiciaire tout comme le commandant de Brigade. A ce titre, sauf erreur de notre part, le commandant de Brigade ne pouvait pas recevoir la plainte en dehors d’une instruction du procureur. C’est ainsi que le plaignant s’est rĂ©fĂ©rĂ© au Tribunal de grande instance d’Orodara dont relĂšve le dĂ©partement de Samorogouan. Dans le souci d’avoir la version de l’accusĂ©, nous avons effectivement Ă©tĂ© Ă  la direction provinciale de la police d’Orodara. Malheureusement, le directeur Ă©tait absent. C’est son adjoint, Ollo Hien qui nous a reçu. Le directeur vient de bouger pour Ouagadougou. C’est lui qui s’occupe du dossier. Il est donc mieux placĂ© pour vous en parler », nous a rĂ©pondu Monsieur Hien. Une fois dans les locaux du palais, l’assurance nous a Ă©tĂ© donnĂ©e par le procureur que la police ne pourra pas nous dire plus que ce qui nous a Ă©tĂ© dĂ©jĂ  dit. A savoir que le dossier suit son cours. Ce que nous avons pu vĂ©rifier Au palais de justice d’Orodara, le procureur du Faso, Constantin N. SomĂ© nous a confirmĂ© la plainte de Yacouba. Pour ce qui est du dĂ©tail des faits par le plaignant, nous n’avons pas pu avoir ni au palais de justice d’Orodara, encore moins Ă  la police provinciale du KĂ©nĂ©dougou une confirmation ou une infirmation. Nous avons pu joindre le directeur provincial de la police au tĂ©lĂ©phone Ă  deux reprises qui nous a Ă©galement confirmĂ© la plainte. C’est moi-mĂȘme qui ai fait le travail pour le procureur », a-t-il dit. Et comme le dossier est dĂ©jĂ  Ă  ce niveau, le directeur nous a fait savoir qu’il ne pouvait pas en dire plus. Le policier du nom de Bilgo, citĂ© par le plaignant qui Ă©tait de garde ce jour, a Ă©galement Ă©tĂ© joint au tĂ©lĂ©phone. PrĂ©cisons que ce dernier a Ă©tĂ© affectĂ© de Samorogouan Ă  PĂŽ. Le 22 dĂ©cembre 2010 quand nous le contactions, il Ă©tait en route pour son nouveau poste. J’étais effectivement de garde le jour des faits. L’intĂ©ressĂ© avait prĂ©venu qu’il a laissĂ© de l’argent Ă  la maison », nous a confiĂ© Monsieur Bilgo. Quand nous avons voulu en savoir davantage, notre interlocuteur nous a fait savoir qu’il n’était pas autorisĂ© Ă  donner des informations Ă  la presse, car le dossier est entre les mains de ses supĂ©rieurs ». Ainsi donc, seule la justice pourra Ă©clairer en temps opportun l’opinion publique sur cette plainte de OuĂ©draogo Yacouba. En attendant, FrĂ©dĂ©ric Sankara commissaire de police de Samorogouan, accusĂ© est tranquille », comme il nous l’a soulignĂ©. Les faits selon le plaignant Photo Je suis vendeur de bƓufs. Mais j’ai ouvert une boutique de vente d’herbicides oĂč vendent ma petite sƓur et une employĂ©e. Un samedi, je suis rentrĂ© de Bobo-Dioulasso oĂč j’ai vendu des bƓufs. Quand mes vendeuses sont revenues de la boutique, j’ai demandĂ© Ă  ce qu’elles fassent les comptes comme j’étais absent. A l’issue des comptes, il y avait des manquants. C’est lĂ  qu’elles m’ont dit que des produits ont Ă©tĂ© livrĂ©s Ă  crĂ©dit. J’ai donc exigĂ© Ă  ce qu’elles recouvrent mon argent car je n’avais pas donnĂ© l’autorisation de vendre Ă  crĂ©dit. Le lendemain dimanche, le 1er aoĂ»t 2010, elles m’ont devancĂ© au marchĂ©. Avant de m’y rendre, j’ai laissĂ© 3 500 000 FCFA dans le coffre de mon lit. J’étais rentrĂ© de Bobo avec 4 015 000 FCFA. J’ai donc empochĂ© les 500 000 FCFA. Je suis sorti de chez moi le matin trĂšs pressĂ© sans fermer ma porte pour aller faire la commission de mon ami Issouf qui m’avait dit de rĂ©cupĂ©rer sa marchandise avec des chauffeurs. J’ai Ă©tĂ© donc rĂ©cupĂ©rer la commission avec les chauffeurs. Au retour, j’ai fait escale Ă  la boutique voir mes vendeuses. C’est lĂ -bas que j’ai rencontrĂ© le commissaire. Il m’a dit de le suivre Ă  la police. Je suis allĂ© vers lui pour le saluer, il ne m’a pas rĂ©pondu. Et il m’a dit de monter sur sa moto. J’ai dit non ! Comme j’ai ma moto, je vais le suivre. Un matin de bonheur, une autoritĂ© te convoque de la sorte, j’ai donc eu peur et je lui ai dit de me situer. C’est en ce moment qu’il m’a dit que pourquoi j’envoie des gens lui rĂ©clamer mon argent ? Et qu’il va m’enfermer. EtonnĂ©, je lui ai dit que rĂ©clamer son dĂ» ne doit pas conduire en prison. Comme il a insistĂ©, je l’ai suivi jusqu’à la police. Une fois au poste, l’agent qui Ă©tait de garde s’appelle Bilgo. Il lui a expliquĂ© en français et ce dernier s’est mis Ă  Ă©crire. Je lui ai dit de m’écouter d’abord avant d’écrire quoi que se soit. Sans rentrer dans les dĂ©tails, je lui ai dit en moorĂ© que le commissaire me doit. Comme mes vendeuses sont allĂ©es rĂ©clamer mon argent, il m’a pris pour venir m’enfermer. AprĂšs mon rĂ©cit, Bilgo m’a demandĂ© si je l’avais insultĂ©. J’ai dit que je ne l’ai jamais insultĂ©. Il a mĂȘme criĂ© sur lui. AprĂšs avoir Ă©crit, ils m’ont dit de me dĂ©shabiller. J’ai juste enlevĂ© ma chemise. Ils m’ont dit d’enlever le pantalon. Je leur ai dit que je n’avais pas de dessous. Avant de m’emprisonner, ils ont demandĂ© ce que j’avais dans ma poche. J’ai dit que c’était de l’argent. Ensemble, nous avons fait les comptes. J’avais sur moi 501 000 FCFA plus des jetons. Ils m’ont ensuite dĂ©barrassĂ© de mes tĂ©lĂ©phones portables et de mes bagues ; puis ils m’ont dit d’entrer en cellule. J’ai dit que si je dois ĂȘtre emprisonnĂ©, permettez-moi de retourner mettre mon argent en lieu sĂ»r. Ils ont refusĂ©. J’ai mĂȘme dit de me menotter et de m’accompagner Ă  la maison pour que je puisse fermer ma porte Ă  clĂ© car ma maison est isolĂ©e. J’ai tout fait, mais ils m’ont enfermĂ©. De la prison j’ai continuĂ© de supplier Bilgo qui a fini par me faire savoir qu’il n’était pas Ă  l’origine de ce qui m’arrive et par consĂ©quent, il ne peut me libĂ©rer. Il m’a mĂȘme dit qu’il a joint le commissaire qui lui a dit qu’il est allĂ© en brousse. Je suis restĂ© lĂ -bas jusqu’à 3 heures par lĂ  ndlr 15 heures. A cette heure, ils m’ont libĂ©rĂ© pour rentrer chez moi. J’ai dit que je ne rentre pas chez moi sans ĂȘtre accompagnĂ© par le commissaire. Vous allez venir avec moi. Si je trouve que mon argent n’a pas Ă©tĂ© volĂ©, il n’y a pas de problĂšme car vous ĂȘtes les dĂ©tenteurs du pouvoir. Au dĂ©part, il a refusĂ©. Comme j’ai insistĂ© et mĂȘme prĂ©venu mon patron, le commissaire a dit Ă  Bilgo de m’accompagner chez moi. Quand nous sommes arrivĂ©s, le coffre Ă©tait vide. J’ai criĂ©, et commencĂ© Ă  pleurer. Bilgo m’a calmĂ©. J’ai dit que je vais interpeller la gendarmerie pour qu’ensemble nous fouillions mon domicile. Bilgo a dit que ce n’était pas la peine. En mĂȘme temps, le commissaire l’a joint au tĂ©lĂ©phone et il lui a rendu compte. AprĂšs leur communication, le commissaire nous a rappelĂ©s Ă  la police. OĂč il m’a dit que si je ne reste pas tranquille, il va me transfĂ©rer Ă  Orodara. Car, aprĂšs m’avoir enfermĂ©, il est allĂ© chez moi trouver que ma porte Ă©tait fermĂ©e. J’ai dit que je n’ai pas peur d’aller mĂȘme Ă  Ouagadougou car je vous ai prĂ©venu ». En effet, juste aprĂšs m’avoir enfermĂ©, il est allĂ© chez moi. Comme il ne connaissait pas au juste mon domicile, il a demandĂ© Ă  une femme. OĂč est chez NakoudrĂ© ? » On m’a surnommĂ© NakoudrĂ©. La femme en question lui a indiquĂ© chez moi en prĂ©cisant que je suis sorti depuis le matin et qu’elle n’était pas sĂ»re que je sois Ă  la maison. Il est donc venu garer sa moto devant ma cour et y est entrĂ©. Ma voisine l’a mĂȘme vu entrer et il y est restĂ© longtemps avant de ressortir. C’est aprĂšs que ces deux tĂ©moins citĂ©s m’ont dit que c’est le commissaire qui est venu Ă  la maison Ă  mon absence. J’ai donc informĂ© le prĂ©fet Ă  sa prĂ©sence. C’est Ă  ce moment que le commissaire lui-mĂȘme a dit au prĂ©fet que les vendeuses sont venues chez lui rĂ©clamer mon dĂ», il les a chassĂ© et celle qu’il a pu rattraper y a laissĂ© sa chaussure. Comme le prĂ©fet a dit qu’il ne pouvait pas juger cette affaire, j’ai donc Ă©tĂ© la soumettre au procureur le lundi » lundi 2 aoĂ»t ». La version des vendeuses et des tĂ©moins citĂ©s par le plaignant Diallo Habibata NakoudrĂ© ndlr le surnom du plaignant m’a employĂ©e pour la vente. Quand il est rentrĂ© de son voyage, il nous a dit de rendre compte. Nous avons fait les calculs, il y avait des manquants. Aussi, nous a-t-il demandĂ© si nous avions vendu des produits Ă  crĂ©dit ? Nous avons rĂ©pondu par l’affirmative. Il a donc dit d’encaisser son argent. Tous ceux qui nous devaient, nous sommes allĂ©es les voir pour encaisser. ArrivĂ©es chez le commissaire, il nous a chassĂ©es. Il a pu me rattraper et m’a frappĂ©e. Il s’est plaint du fait que nous soyons venues chez lui Ă  domicile rĂ©clamer notre dĂ». J’ai mĂȘme laissĂ© une de mes chaussures lĂ -bas quand j’ai pu m’échapper. Il avait pris 4 bidons d’herbicides avec moi. 3 bidons d’herbicides maĂŻs, plus Dima woro », utilisĂ© contre les mauvaises herbes. Les 3 bidons coĂ»tent 12 000 FCFA et le Dima woro » fait 3 250. Il me devait au total 15 250 FCFA. OuĂ©draogo AzĂ©ta En l’absence de Yacou ndlr le diminutif de Yacouba le commissaire est venu me voir. Il a dit de lui servir Ă  crĂ©dit. Je lui ai dit que Yacou n’accepte pas les crĂ©dits. Il a insistĂ©. Je l’ai donc servi. Moi je lui ai vendu un bidon de Dima woro » plus 2 autres herbicides. Ma vente est diffĂ©rente de celle de Diallo. Les 2 bidons qui empĂȘchent les herbes de pousser coĂ»tent 7 500 FCFA. Le bidon de Dima woro » fait 3 250 FCFA. Il me devait au total 10 750 FCFA. Quand Yacou nous a dit d’encaisser, nous avons fait le tour de nos dĂ©biteurs. Quand j’ai dit Ă  ma collĂšgue que le commissaire me devait, elle m’a aussi fait part de son cas. C’est ainsi que nous avons dĂ©cidĂ© d’aller ensemble le voir. C’est sa femme que nous avons trouvĂ©e et elle nous a fait savoir que son mari se douchait. Quand il a fini, nous nous sommes approchĂ©es et j’ai dit, tonton, Yacou nous a dit de venir rĂ©clamer son argent. Au lieu de nous payer notre argent, il nous a chassĂ©es. Moi j’ai pu m’échapper, mais il a pu rattraper ma collĂšgue dont une des chaussures est restĂ©e dans la cour. On repartait rendre compte Ă  Yacou. Il est venu nous dĂ©passer. Quelques temps aprĂšs, on l’a vu repasser et il Ă©tait accompagnĂ© de Yacou. C’est aprĂšs tout qu’il est revenu Ă  la boutique nous dire qu’il a enfermĂ© Yacou et qu’on peut informer les parents car il ne sera libre qu’aprĂšs avoir payĂ© 150 000 FCFA. Comme le papa Ă©tait absent, je suis allĂ©e informer ma mĂšre ». Biyen Aminata Il est venu me trouver dans ma cour aux environs de 10 heures et m’a demandĂ© si c’était chez Yacou. J’ai dit que son domicile est encore devant et je lui ai indiquĂ© la cour. Il a ensuite demandĂ© si Yacou Ă©tait lĂ . Je lui ai fait savoir que je l’ai vu sortir le matin. Je ne sais pas s’il est de retour. Il pensait que mon domicile Ă©tait celui de Yacou. Je l’ai vu entrer. Mais je n’ai plus su quand il est ressorti ». TraorĂ© AĂŻcha J’étais assise devant ma porte. Je l’ai vu arriver sur une moto Yamaha. ArrivĂ© devant la cour de Yacou, il a garĂ© et est rentrĂ©. Il a pris du temps dedans, ensuite il est ressorti prendre sa moto et partir. A moi, il n’a rien demandĂ© quand il est arrivĂ© ». Souro DAO L’Express du Faso Braquage sur l’axe Fada-Kantchari Un mort et de ... Editions scolaires A l’ombre des karitĂ©s et ... UniversitĂ© de Koudougou La rentrĂ©e acadĂ©mique prĂ©vue Ă  ... 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Nous avons renouvelĂ© l’expĂ©rience avec la prĂ©fĂšte de police sur un Ă©quipage mixte police nationale-police municipale pour lutter contre les ventes Ă 
Des cigarettes de contrebande ont Ă©galement Ă©tĂ© confisquĂ©es 250 paquets ainsi que le fruit de leur vente. Soit 2 600 €. Sur rĂ©quisition du procureur de la RĂ©publique, une vaste opĂ©ration, coordonnĂ©e entre police municipale et nationale, a Ă©tĂ© organisĂ©e ce dimanche 24 janvier Ă  partir de 10 heures afin de lutter contre la vente Ă  la sauvette qui gangrĂšne les commerçants lĂ©gitimes installĂ©s au niveau du Grand-Mail sur l’avenue Heidelberg Ă  La Mosson. Cinq personnes interpellĂ©es Une initiative qui s’est avĂ©rĂ©e on ne peut plus payante puisque trois vendeurs de fruits et lĂ©gumes et deux vendeurs de cigarettes de contrebande ont Ă©tĂ© interpellĂ©s. Au final, 250 paquets de cigarettes et 2 600 € ont Ă©tĂ© confisquĂ©s et, surtout, 3,3 tonnes de denrĂ©es alimentaires ont ainsi Ă©tĂ© saisies et remises Ă  la banque alimentaire. Un homme contrĂŽlĂ© appelle Ă  l'Ă©meute À noter qu’une sixiĂšme personne, en situation irrĂ©guliĂšre sur le territoire national et porteuse de deux couteaux, a Ă©tĂ© apprĂ©hendĂ©e non sans mal lors de son contrĂŽle d’identitĂ©. En effet, cette derniĂšre a appelĂ© Ă  l’émeute avant de faire semblant d’ĂȘtre victime d’un malaise. Ce qui a entraĂźnĂ© une certaine tension sur place. Heureusement, l’intervention de la compagnie dĂ©partementale d’intervention a su ramener le calme. LecontrĂŽle remonte Ă  une dizaine de jours avec la PAF dĂ©jĂ  pour trafic de cigarettes et travail dissimulĂ©. A lire aussi : Montpellier : Vente de tabac Ă  la sauvette Ă  Gambetta, le rĂšgne Une nouvelle opĂ©ration de la police municipale de Montpellier contre la vente Ă  la sauvette de masse a Ă©tĂ© menĂ©e samedi sur des parkings proches des halles des 4 Saisons, dans le quartier de la Mosson-la Paillade. Par Jean-Marc Aubert PubliĂ© le 4 Mar 19 Ă  1002 Ventes Ă  la sauvette MossonUne nouvelle opĂ©ration de la police municipale de Montpellier contre la vente Ă  la sauvette de masse a Ă©tĂ© menĂ©e samedi sur des parkings proches des halles des 4 Saisons, dans le quartier de la Mosson-la MĂ©tropolitain l’a dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© ici, l’annĂ©e derniĂšre, des forains venus de la rĂ©gion Occitanie dĂ©barquent de temps en temps avec leurs camions remplis de fruits et lĂ©gumes achetĂ©s au MarchĂ© d’intĂ©rĂȘt national -MIN- de Montpellier et s’installent sur les parkings mitoyens des halles des 4 Saisons, oĂč ils cassent les prix » sur les fruits et les lĂ©gumes, ce qui constitue une concurrence dĂ©loyale pour les Ă©taliers, qui ne dĂ©colĂšrent en fourriĂšreSamedi, plus d’une centaine de cagettes de fruits et lĂ©gumes ont Ă©tĂ© confisquĂ©es et les vĂ©hicules des forains, qui n’ont aucune autorisation de vendre leurs produits, ont Ă©tĂ© mis en fourriĂšre, lors d’une intervention des policiers municipaux. Les vendeurs illĂ©gaux ont Ă©tĂ© conduits au commissariat central, oĂč ils ont fait l’objet d’une procĂ©dure judiciaire transmise au procureur de la RĂ©publique de Lorraine Acquier, l’adjointe au maire Philippe Saurel en charge de la police municipale et de la sĂ©curitĂ© Ă  la Ville de Montpellier, les fruits et lĂ©gumes saisis ont Ă©tĂ© livrĂ©s Ă  des associations caritatives. Les fourgons ont Ă©tĂ© mis en fourriĂšre. Photo Ville de MontpellierCet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre MĂ©tropolitain dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites.
Saisiede stupéfiants. Les agents de police municipale pourraient ainsi, dans cette expérimentation, constater la vente à la sauvette, le défaut de
Pour lutter contre lâ€™â€œĂ©conomie informelle” dans le chef-lieu de Mayotte, la majoritĂ© municipale nouvellement installĂ©e prend une dĂ©cision cruciale interdiction de vente Ă  la sauvette dans les lieux publics et lieux ouverts Ă  la circulation publique. Ainsi, Le nouveau maire AmbdilwahĂ©dou SoumaĂŻla a signĂ© un arrĂȘtĂ© en ce sens. Il entre en vigueur le lundi 7 septembre. Une dĂ©cision forte attendue par les commerçants du marchĂ© couvert qui se sentent lĂ©sĂ©s par les commerçants “informels” en situation d’irrĂ©gularitĂ©. “Le commerce illĂ©gal reprĂ©sente une vĂ©ritable source de concurrence dĂ©loyale qu’il souhaite Ă©radiquer dans le centre de Mamoudzou” explique le maire lors d’une confĂ©rence de presse. Mais pas sĂ»r que ces derniers l’entendent de cette oreille. Des mĂ©contentements sont attendus tant ce sujet est explosif dans la capitale. Plusieurs mesures coercitives de lutte contre la vente illĂ©gale sont mises en place ✅ Transformer l’annexe de la Police Municipale en poste permanant✅ Missions d’information gĂ©nĂ©rale aux administrĂ©s et aux nouveaux arrivants✅ 3 brigades sont mobilisĂ©es 🔾 Brigade canine de maniĂšre permanente🔾 Brigade moto passages frĂ©quents🔾 Brigade VTT passages frĂ©quents✅ Programmer une mission de surveillance par drones✅ PrĂ©sence policiĂšre sur place tous les jours dĂšs 5h30✅ OpĂ©rations menĂ©es en collaboration avec la police nationale et la prĂ©fecture✅ Continuer Ă  dĂ©truire les marchandises saisies✅ AmĂ©liorer prochainement l’éclairage sur le site â„č Ce dispositif luttera Ă©galement contre les vols Ă  la roulotte, les agressions et la prostitution qui sĂ©vissent ici les soirs. ▶ Un nouvel emplacement sera prochainement Ă  l’étude pour les vendeurs souhaitant rĂ©gulariser leur activitĂ© commerciale La mairie de Mamoudzou interdit la vente Ă  la sauvette Acoua, arrĂȘtĂ©, ARS, CHM, clandestin, commerçant, commerce informel, Coronavirus, Covid-19, Ă©conomie, hors la loi, illĂ©galitĂ©, immigration, irrĂ©gularitĂ©, mairie, Mamoudzou, marchĂ© couvert, municipalitĂ©, prĂ©fecture, SantĂ© publique, vente Ă  la sauvette, Voie publique AprĂšspublication de l'arrĂȘtĂ© municipal interdisant les ventes Ă  la sauvette, que nous avions relayĂ© sur nos pages le 8 octobre dernier, visiblement nos forces de police ont dĂ©cidĂ© de l'appliquer.En tout cas hier mardi 18 octobre, pour en avoir Ă©tĂ© tĂ©moin. PubliĂ© le 25/08/2022 Ă  1659 Au total, 160 CRS sont mobilisĂ©s pour assurer la sĂ©curitĂ© du quartier de la GuillotiĂšre. Esther Paolini / LE FIGARO Au total, la Brigade sĂ©curitĂ© de terrain BST a procĂ©dĂ© Ă  800 interpellations dans le quartier depuis le dĂ©but de l'annĂ©e. Le mot d'ordre Ă©tait clair occuper le terrain. PrĂšs d'un mois aprĂšs le lynchage de policiers Ă  la GuillotiĂšre Ă  Lyon, l'envoi de renfort affiche des rĂ©sultats significatifs. Pas moins de 4000 contrĂŽles, 400 interpellations et 500 contraventions ont Ă©tĂ© comptabilisĂ©s en un mois au sein de ce quartier sensible du 7e arrondissement, a annoncĂ© mercredi soir le prĂ©fet du RhĂŽne Pascal du prĂ©fet prĂ©cise au Figaro que la majoritĂ© des interpellations concernent des faits de vol, recel de vol, vente Ă  la sauvette, dĂ©tention et usage de stupĂ©fiants. En parallĂšle, la Brigade spĂ©cialisĂ©e de terrain BST dĂ©ployĂ©e depuis le 7 fĂ©vrier dans le quartier affiche un bilan de 800 lire aussiSous le couperet de la GuillotiĂšre, l’angoisse quotidienne des riverainsLe 20 juillet, le lynchage de trois policiers en civil lors d'une interpellation pour un vol Ă  l'arrachĂ© avait suscitĂ© l'indignation et poussĂ© les autoritĂ©s Ă  mobiliser davantage d'agents sur le terrain. Une seconde Compagnie rĂ©publicaine de sĂ©curitĂ© CRS de 70 hommes a ainsi Ă©tĂ© dĂ©ployĂ©e, mobilisant au total 160 hommes pour le quartier La GuillotiĂšre - Lyon Part Dieu. Depuis, un policier a Ă©tĂ© blessĂ© dĂ©but juillet Ă  la suite d'un refus d'obtempĂ©rer, mais la situation est plutĂŽt Ă  l'apaisement. La police municipale est prĂ©sente le matin, relayĂ©e par la police nationale de 13h30 Ă  1 heure du matin. Cette prĂ©sence quasi continue gĂ©nĂšre un certain calme. Bien entendu, on ne peut pas dire que le problĂšme est totalement rĂ©glé», nous glisse-t-on. Des patrouilles pĂ©destres sont quant Ă  elles en charge de surveiller les rues adjacentes Ă  la place Gabriel PĂ©ri, ainsi que les places et parcs renfort des contrĂŽles des commercesAu-delĂ  des questions de dĂ©linquance, les forces de l'ordre s'attellent depuis le dĂ©but du mois Ă  renforcer les contrĂŽles dans les commerces. Lors d'opĂ©rations interservices avec des Ă©quipes de la douane ou encore de l'URSSAF, des fonctionnaires ont contrĂŽlĂ© une vingtaine de commerces, des Ă©tablissements de restauration ou des Ă©piceries notamment. L'idĂ©e est aussi bien de lutter contre les nuisances sonores dont se plaignent rĂ©guliĂšrement les riverains que de s'assurer qu'il n'existe pas de travail dissimulĂ©. Ces opĂ©rations ont notamment donnĂ© lieu Ă  une verbalisation pour information commerciale trompeuse, tandis qu'un Ă©tablissement a Ă©tĂ© fermĂ© pour de mauvaises conditions d' ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rald Darmanin a assurĂ© qu'il reviendrait dans le quartier de la GuillotiĂšre le 5 septembre prochain. Un rendez-vous avec le maire Ă©cologiste GrĂ©gory Doucet devrait avoir lieu, aprĂšs que celui-ci a refusĂ© d'assister au dernier dĂ©placement ministĂ©riel Ă  Lyon. LaVille de Montpellier veut freiner la vente Ă  la sauvette. Posted On 17 Mar 2017. By : SNPM. Comment: Off. Tag: ActualitĂ©, DĂ©fense, Emploi, police municipale, policiers, SNPM, SNPM- Syndicat National des Policiers Municipaux, syndicat. Par Marie Ciavatti, France Bleu HĂ©rault Jeudi 16 mars 2017 Ă  17:10. Le quartier Gambetta est l’un des secteurs de Montpellier le plus

Vous ĂȘtes ici Accueil Recherche Recherche... Question Ă©crite N°41327 de M. Christophe Blanchet 15Ăšme lĂ©gislature MinistĂšre interrogĂ© > IntĂ©rieur MinistĂšre attributaire > IntĂ©rieur Question publiĂ©e au JO le 28/09/2021 page 7099 Date de changement d'attribution 21/05/2022 Date de renouvellement 04/01/2022 Date de renouvellement 26/04/2022 Question retirĂ©e le 21/06/2022 fin de mandat Texte de la question M. Christophe Blanchet appelle l'attention de M. le ministre de l'intĂ©rieur sur le sujet de l'amende spĂ©cifique pour les acheteurs de tabac Ă  la sauvette. L'application d'une telle amende est demandĂ©e de longue date tant la vente Ă  la sauvette, de produits du tabac et de cigarettes contrefaites en particulier, gĂ©nĂšre de nuisances sur le domaine public. Aujourd'hui, dans les grandes villes, les lieux de vente de tabac Ă  la sauvette sont notoirement connus et n'importe qui peut s'en procurer, souvent sans que l'acheteur ne rĂ©alise qu'il achĂšte un produit contrefait ou qu'il participe directement du financement du grand banditisme. L'acte d'acheter du tabac Ă  la sauvette est toutefois notoirement illĂ©gal et le Gouvernement comme les parlementaires se sont plusieurs fois saisis du sujet. Une solution envisagĂ©e et adoptĂ©e par voie d'amendement lors de l'examen de la loi sĂ©curitĂ© globale », consiste Ă  permettre aux agents de la police municipale de verbaliser l'achat Ă  la sauvette au moyen de cette amende de quatriĂšme classe, de 135 euros. InsĂ©rĂ©e dans le cadre de l'expĂ©rimentation prĂ©vue Ă  l'article 1er du texte, cette disposition a Ă©tĂ© supprimĂ©e lors de l'examen en commission des lois au SĂ©nat, sans ĂȘtre rĂ©insĂ©rĂ©e dans la suite de la navette parlementaire. Si ce dispositif essentiel n'a pas Ă©tĂ© maintenu dans le cadre de la proposition de loi, il pourrait ĂȘtre rĂ©introduit par voie rĂ©glementaire. L'article L. 511-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure, relatif aux missions de la police municipale, prĂ©voit Sans prĂ©judice de la compĂ©tence gĂ©nĂ©rale de la police nationale et de la gendarmerie nationale, les agents de police municipale exĂ©cutent, dans la limite de leurs attributions et sous son autoritĂ©, les tĂąches relevant de la compĂ©tence du maire que celui-ci leur confie en matiĂšre de prĂ©vention et de surveillance du bon ordre, de la tranquillitĂ©, de la sĂ©curitĂ© et de la salubritĂ© publiques. Sans prĂ©judice des compĂ©tences qui leur sont dĂ©volues par des lois spĂ©ciales, ils constatent Ă©galement par procĂšs-verbaux les contraventions aux dispositions du code de la route dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret en Conseil d'État ainsi que les contraventions mentionnĂ©es au livre VI du code pĂ©nal dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret en Conseil d'État, dĂšs lors qu'elles ne nĂ©cessitent pas de leur part d'actes d'enquĂȘte et Ă  l'exclusion de celles rĂ©primant des atteintes Ă  l'intĂ©gritĂ© des personnes ». Le livre VI du code pĂ©nal comprend la liste des contraventions articles R. 610-1 Ă  R. 655-1, parmi lesquelles la contravention relative Ă  l'acquisition de produits du tabac manufacturĂ© vendus Ă  la sauvette article R. 644-3. Il lui demande si le Gouvernement entend permettre effectivement renforcer la lutte contre ce flĂ©au, en permettant aux agents de la police municipale de bĂ©nĂ©ficier des compĂ©tences nĂ©cessaires pour dresser ce type de contravention. Texte de la rĂ©ponse

LaPolice Municipale n’intervient pas, elle a, dit le Maire, ‘ Peur d’ĂȘtre prise Ă  parti par la foule. ‘. Les agents , dans un semblant de confidence affirment travailler avec la Police Nationale, les douanes et la Gendarmerie. La finalitĂ© est que personne ne fait rien et surtout pas le Maire. Pourtant, l’article 10 du rĂšglement de 2002 interdit la vente ambulante Ă  moins de 500

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23avril 2022 ainsi que le mardi 3 et mercredi 4 mai 2022. La partie du fond du parking de la gare, situé à l'arriÚre de la mairie de Grand-Aigueblanche, est réservée à l'organisation du spectacle de marionnettes de Madame LOYAL. Article 2 : Sur la place susvisée, la circulation des véhicules est interdite sauf aux véhicules de secours

AprĂšs les violences de mardi 19 et mercredi 20 juillet en plein centre de Montpellier, retour dans un quartier en colĂšre. L’émoi est encore vif dans le quartier de Plan-Cabanes prĂšs d’une semaine aprĂšs la rixe entre bandes rivales Ă  coups de bĂątons et de machette en plein jour mardi 19 juillet et son "match" retour lire ci-contre. Aziz, le patron du cafĂ© le Mirador, dont la terrasse fait l’angle avec la place, Ă©tait aux premiĂšres loges au moment de cette irruption de violences "inouĂŻe", symptomatique de la guerre de territoires Ă  laquelle se livrent les Ă©quipes de vendeurs Ă  la sauvette de cigarettes mais aussi de stupĂ©fiants. D’ailleurs, alors que nous sommes en pleine discussion, un homme l’interrompt pour lui proposer du shit ! Une scĂšne surrĂ©aliste mais Ă  laquelle habitants et commerçants comme Aziz sont tristement habituĂ©s. Mais ce mardi-lĂ , le rĂšglement de comptes a dĂ©bordĂ© sur sa terrasse "Le gars a pris une chaise en bois Ă  la boulangerie en face et l’a jetĂ©e sur un jeune qui passait devant ma terrasse. La chaise a atteint un de mes clients Ă  la tĂȘte. C’est Ă  ce moment-lĂ  que j’ai appelĂ© la police municipale. Mais vingt minutes aprĂšs, le gars est revenu avec la machette
" "On voit ces bagarres constamment, mais lĂ  l’image de cette violence en plein jour qui a Ă©tĂ© vue jusqu’aux États-Unis, ça a un impact nĂ©gatif pour le commerce, le tourisme, la ville", confie l’un des amis d’Aziz, habituĂ© du Mirador. Et de constater une inexorable dĂ©crĂ©pitude du quartier "Les touristes ne viennent plus, mĂȘme mes enfants ne veulent plus venir manger au cafĂ©, ça tue le commerce", poursuit le restaurateur qui a dĂ©posĂ© plainte et Ă©crit au prĂ©fet. "On est impuissant face Ă  ces gens qui veulent prendre notre quartier. On ne peut pas arrĂȘter l’hĂ©morragie quand on voit que les tĂȘtes de rĂ©seaux font marcher les affaires avec de la traite d’humains", confie une femme dans le cafĂ©. Cet aprĂšs-midi-lĂ , les deals vont bon train de l’autre cĂŽtĂ© du Cours Gambetta. Les grappes de vendeurs quadrillent le trottoir, parfois devant les commerces. Un manĂšge qui s’est enkystĂ© depuis des annĂ©es dans le quartier. Les consommateurs de tabac, drogue et mĂ©dicaments viennent rĂ©cupĂ©rer leur tabac au dĂ©tail et surtout au rabais, Ă  pied, en trottinette ou mĂȘme en voiture. Ils n’ont plus peur de crĂ©er un bouchon, depuis que la circulation routiĂšre a fondu avec le nouveau plan de dĂ©placements. Les vendeurs des Ă©trangers en situation irrĂ©guliĂšre, souvent des mineurs qui gagnent quelques sous pour survivre. La marchandise est cachĂ©e un peu partout dans les murs, les appartements. " Il n’y a pas de violence comme ça, inouĂŻe, pour des pacotilles ", poursuit cet autre client habituĂ© de Plan-Cabanes. Tous Ă©voquent une guerre de territoire entre bandes rivales dont les tĂȘtes de rĂ©seaux, parfois liĂ©s Ă  des commerces fantoches, seraient identifiĂ©es par les autoritĂ©s. " Il y a un problĂšme vous ne croyez pas ?", soulĂšve l’un des clients. "Les autoritĂ©s se sont fait dĂ©passer ", se dĂ©sespĂšre Aziz qui, lui, refuse de partir et de " les laisser gagner ". "La peur doit changer de camp", conclut son ami. Mardi, la tension entre ces bandes a explosé  sur les rĂ©seaux sociaux avec une vidĂ©o prise par un riverain. Les habitants voient bien les opĂ©rations de police coordonnĂ©es, les patrouilles de police municipale rĂ©guliĂšres, les contrĂŽles de commerces qui Ă©copent de fermetures administratives le prĂ©fet annonce que neuf procĂ©dures de fermeture sont en cours Ă  Gambetta. "C’est triste qu’on ne trouve pas de solution" "On a beaucoup dit qu’avec les travaux du faubourg Figuerolles le quartier allait s’amĂ©liorer, mais ça n’a rien changĂ©, le problĂšme est toujours lĂ . Ce qui s’est passĂ© est hallucinant", constate attristĂ© ce commerçant qui s’est enfermĂ© Ă  clĂ© dans son magasin lundi en voyant un individu courir avec un couteau. Avant de prĂ©venir la police. Il travaille dans le quartier depuis trente ans. "On ne peut pas travailler normalement ici, tout ça impacte la clientĂšle". Le maire s’est dĂ©placĂ© lundi 25 juillet, en compagnie de policiers municipaux sur une mission de sĂ©curisation. Des chaises de "chouf" posĂ©es devant les commerces fermĂ©s sont jetĂ©es. "Pour affirmer la prĂ©sence de l’autoritĂ© publique, on ne lĂąchera rien ", assure le premier Ă©dile. "Je ne vois pas comment on rĂ©duit ce genre de phĂ©nomĂšne. C’est triste que l’on ne trouve pas de solution !", indique encore le commerçant qui a vu les dealers s’installer jusque sur la rue du faubourg aprĂšs le confinement. "Notre quartier a mauvaise rĂ©putation depuis 20 ans, cette violence ça s’est banalisĂ©. La police est lĂ  mais une heure aprĂšs, les vendeurs sont de retour, des camĂ©ras ont Ă©tĂ© installĂ©es il y a quelques mois mais ça ne les effraie pas !"
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АЮр аĐČсևζа ቧĐșŃƒáˆˆŐ„ÎŸĐĄĐ»ÎčÖ†á‰·Ń€ŃŃŽŃˆáŒź Ő°ĐŸ Дща
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LaPrĂ©fecture de police de Paris (Île-de-France) a lancĂ© une vaste opĂ©ration contre la vente Ă  la sauvette dans la capitale. Elle a indiquĂ© avoir interpellĂ© 42 vendeurs et en avoir
Dans un tweet, la police municipale qui pose rĂ©guliĂšrement son PC mobile dans le quartier – singuliĂšrement animĂ© – de Gambetta/ Plan Cabanes 37 fois depuis le dĂ©but d’annĂ©e rappelle que depuis janvier les agents ont rĂ©alisĂ© 115 interventions. Ils ont ainsi interpellĂ© 38 personnes, Ă©tabli 67 procĂ©dures pour dĂ©lit ou contravention et relevĂ© 797 infractions au code de la route. Sachant que le quartier est aussi vidĂ©o-surveillĂ©. Exemple d’intervention ce 27 juillet, les policiers avaient repĂ©rĂ© un vendeur de tabac Ă  trottinette. lequel avait rĂ©ussi Ă  Ă©chapper Ă  la patrouille mais il a Ă©tĂ© retrouvĂ© deux heures plus tard, rĂ©fugiĂ© dans les toilettes d’un bar. Il Ă©tait en possession de 30 paquets de tabac. Un exemple parmi tant d’autres voir aussi 23 juillet.
QRiz.
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  • vente Ă  la sauvette et police municipale